jeudi 28 août 2008

Mais les territoires, si!


Nous nous confrontons donc à un problème. Non de culture, mais de volontés qui s'expriment différemment dans des espaces nationaux bien définis (bien qu'on l'associe souvent à des identités culturelles par erreur). C'est la nation. La frontière est physique, mais aussi psychologique. On confronte ses égoïsmes, et ses intérêts au travers de la nation. On cherche à comprendre l'autre au travers de ses propres miroirs, ses repères, ses espoirs, ses rêves sa faim, sa soif. Pour ma part, c'est au travers de ma volonté de destruction. Le mépris de toute les idées qui font ce monde! L'esprit humain est vicieux par nature, il est inutile de le nier. Pourquoi l'aimer?
J'en conclu donc que pour comprendre l'histoire de ces villes, et donc aussi de ses populations, il faudrait aussi que je définisse leurs territoires physiques et mentaux.
Quand je parle de territoire, je m'en référe uniquement à la notion basique de frontière, de limites qu'elles soient physiques ou non.
Généralement, le territoire d'un foyer, c'est le domaine familial, comprenant au minimum l'habitat loué ou acheté. Il délimite toute une sociabilité à part entière. Il comprend ses régles, ses façons de se comporter à l'intérieur, mais aussi à l'exterieur. Dans ce cas bien défini, il est possible que le territoire familial transhume avec les personnes, si cette famille est nomade ou bien se déplace quelques temps chez des « étrangers » de la famille plus éloignés ou des voisins. Mais à ce moment les régles devront s'adapter à celles des autres auquelle elle est confronté, à moins que la première soit dominante, dans ce cas, c'est le phénomène inverse qui se produit.

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