jeudi 18 septembre 2008

Mes pitoyables utopies (et les tiennes connard!)


J'avance....
quelque part se déssine une route. Je la suis sans savoir où elle méne. Peut être vers un mieux qui sait? Le monde est fait de vide. Les hommes travaillent dure pour le remplir. Ils gigotent dans tous les sens, ils parlent, chantent, pleurent, rient, s'émeut, s'ennuient, dorment, se réveillent, font ce qu'il faut pour s'occuper. Leur journées sont bien remplis, ils n'ont pas oublier la mort. Il lui on accordés une bonne place, au paradis ou en enfer, voir bien même aux vers pour les autres.

« Dieu est mort
Nietzche
Nietzche est mort
Dieu » (graffiti)

Pourquoi? Quel est le sens de tout cela!?
Les gens cherchent. Ils ont beaucoup d'explication sur le comment, mais non sur le pourquoi. Mais ils continuent comme un seul homme à rechercher vainement «quelque chose » au travers des siècles. Mais finalement leur nature reprend le dessus, ils ne trouvent que la reproduction de leur intérêts, le miroir de leur piétres espoirs. Que trouveraient-ils d'autre en se cherchant eux-même? Il faut avancer, c'est la seul certitude que j'ai. Le retour en arrière ne ferait qu'empirer les choses, toujours les mêmes, insipides et vulgaires. Il faut vivre «sérieusement» pour mourir avec le « sourir ». Alors je continu, mais je suis perdu dans le vaste remou de cette vague appellée la vie.

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