L'ensemble de ces transformations vont s'initier après la crise du phylloxera sous l'impulsion du chemin de fer et de l'agiotage dans le milieu viticole lors de la reprise. Au lieu de revenir à l'ancien mode de production du vin reposant sur le procédé de la distillation, les gallarguois ont choisi la production en gros comme toute la région environnante soit disant passant. Cette uniformisation de la production du vin va entrainer sa perte. Et la démonstration de 1907 ne tarde pas à venir démontrer les faiblesses de ce type de production! Mais ce n'est pas assez, car il semble d'après Gourgas, ainsi que d'après les archives du Grand Gallargues, que la ville ait réussi à se remettre assez vite de cette crise. Les choses ne vont pas en rester la, mais il y a la grande-guerre. C'est la première pierre d'un autre changement social d'une toute autre importance, la révolution féminine est déjà en marche! A Gallargues les choses se dégradent, car si au XIX ème siècle l'éducation fut une des grandes priorité des gallarguois, il semble qu'elle le soit un peux moins pour les générations suivantes selon Gourgas. Aujourd'hui le mal est réparé, et une attention particulière est accordée aux locaux de l'école maternelle toute neuve, et de l'école primaire, désormais rénovée, et agrandie pour faire face au défis démographiques des années à venir. Et les vignerons? Et bien ils doivent faire front à la crise du nouveau millénaire, face à un marché mondialisé, que faire? Il faut en revenir aux fondamentaux, la crise est compliquée, mais les solutions pourraient être bien plus simple que l'on croit. Rappelez vous, avant le phylloxera, les vignes, et les vignerons avaient leurs personnalités, leurs spécificités. ça faisait leurs qualités et leurs forces! Pourquoi pas la notre?
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Il y a 3 ans
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